Oeuvres d'art contemporain
L’artiste
Ma poursuite de la diversité de l’âme collective est empreinte de mes
nombreuses pérégrinations rythmées au fil des nations.
Ma fascination visuelle se développe dans le contraste et la dualité de
deux caractères en stratification.
Ces images n'ont d'autre intérêt que d’insuffler à l'observateur une
controverse mentale subjective entre des éléments incongrus qui ont
pourtant une affinité imaginaire, rêveuse ou réelle.
C’est dans un instant de lumière succincte que la pénombre dévoile la
pureté de sa magnificence.
Ma poursuite de la diversité de l’âme collective est empreinte de mes
nombreuses pérégrinations rythmées au fil des nations.
Ma fascination visuelle se développe dans le contraste et la dualité de
deux caractères en stratification.
Ces images n'ont d'autre intérêt que d’insuffler à l'observateur une
controverse mentale subjective entre des éléments incongrus qui ont
pourtant une affinité imaginaire, rêveuse ou réelle.
C’est dans un instant de lumière succincte que la pénombre dévoile la
pureté de sa magnificence.
L’exposition « Ramification printanière »
L’exposition est basée sur une série de paysages prisent au fil des routes de la région
durant la période printanière, soit après la fonte de la neige et avant le premier bourgeon.
Des arbres dénués de feuillage où se dessine seulement le squelette organique.
L’idée maitresse consiste à transformer la photographie de paysage en œuvres d'art
uniques en leur donnant une sensation picturale et rêveuse grâce à son application
incroyablement unique de textures. Mais aussi en colorant l’absence par quelques
taches d’encre a l’alcool.
Ses amalgames de textures et coloris superposées propose des découvertes inattendues
et voir le paysage autrement et remettre en question notre rapport avec le réalisme habituel.
L’exposition est basée sur une série de paysages prisent au fil des routes de la région
durant la période printanière, soit après la fonte de la neige et avant le premier bourgeon.
Des arbres dénués de feuillage où se dessine seulement le squelette organique.
L’idée maitresse consiste à transformer la photographie de paysage en œuvres d'art
uniques en leur donnant une sensation picturale et rêveuse grâce à son application
incroyablement unique de textures. Mais aussi en colorant l’absence par quelques
taches d’encre a l’alcool.
Ses amalgames de textures et coloris superposées propose des découvertes inattendues
et voir le paysage autrement et remettre en question notre rapport avec le réalisme habituel.
L’exposition « Textures rêveuses »
L’exposition est basée sur une série de paysages prisent au fil de mes voyages.
Des images captées à quelques rues d’ici et d’autres à plusieurs milliers de kilomètres.
L’idée maitresse consiste à transformer la photographie de paysage en œuvres d'art uniques
en leur donnant une sensation picturale et rêveuse grâce à son application incroyablement
unique de textures. Réalisé avec l’aide exceptionnelle de la magie des calques de Photoshop.
Ses amalgames de textures superposées propose des découvertes inattendues et voir
le paysage autrement et remettre en question notre rapport avec le réalisme habituel.
L’exposition est basée sur une série de paysages prisent au fil de mes voyages.
Des images captées à quelques rues d’ici et d’autres à plusieurs milliers de kilomètres.
L’idée maitresse consiste à transformer la photographie de paysage en œuvres d'art uniques
en leur donnant une sensation picturale et rêveuse grâce à son application incroyablement
unique de textures. Réalisé avec l’aide exceptionnelle de la magie des calques de Photoshop.
Ses amalgames de textures superposées propose des découvertes inattendues et voir
le paysage autrement et remettre en question notre rapport avec le réalisme habituel.
L’exposition « Mosaïque »
L’exposition « Valérie »
L’exposition « Poires »
L’exposition « Paix et amour »
Il est immoral de détruire une jolie petite fleur et pourtant au même moment,
on détruit des villes entières et peut-être un pays.
La fleur blanche symbolise la naissance, la pureté de l’âme et la paix,
plus particulièrement le spathiphyllum appelé aussi lys de la paix.
D’une part, une série de photographies établissant le parallèle entre la
guerre et la paix en superposant le motif militaire kaki en fond et une
timide fleur blanche en avant plan. D’autre part, une réflexion entre la
fragilité d’un pétale et la solidité apparente d’un édifice de pierres.
Neuf images en trois thèmes sont proposées aux visiteurs ;
guerre et paix, fragilité architecturale et la paix dans le monde.
La conjoncture mondiale est préoccupante. La paix dans le monde,
est-elle vraiment une utopie ou une réalisation possible !
Il est immoral de détruire une jolie petite fleur et pourtant au même moment,
on détruit des villes entières et peut-être un pays.
La fleur blanche symbolise la naissance, la pureté de l’âme et la paix,
plus particulièrement le spathiphyllum appelé aussi lys de la paix.
D’une part, une série de photographies établissant le parallèle entre la
guerre et la paix en superposant le motif militaire kaki en fond et une
timide fleur blanche en avant plan. D’autre part, une réflexion entre la
fragilité d’un pétale et la solidité apparente d’un édifice de pierres.
Neuf images en trois thèmes sont proposées aux visiteurs ;
guerre et paix, fragilité architecturale et la paix dans le monde.
La conjoncture mondiale est préoccupante. La paix dans le monde,
est-elle vraiment une utopie ou une réalisation possible !
L’œuvre « L’Herbier »
Photographies et impressions faisant partie de l'exposition "L’herbier"
présentée en primeur à la Galerie 1855 Exposition collective de
Saint-Hyacinthe lors de l’événement « Exposition Ode à la nature 2020 ».
Composée d'une série de 4 photographies mettant en premier plan une
feuille d’un végétal à la manière d’un herbier et en substrat une texture
naturelle de bois, d’écorce ou de canopée régionale.
De par la combinaison de la transparence et du contraste émerge la
complexité insoupçonnée des folioles et de la nervuration de la flore.
Les motifs alambiqués camouflés dans le limbe foliaire sont rehaussés
par la monochromie partielle.
Il est maintenant à espérer que l’observation de la beauté magique
d’une nervure rendra l’âme humaine protectrice de la biodiversité.
Photographies et impressions faisant partie de l'exposition "L’herbier"
présentée en primeur à la Galerie 1855 Exposition collective de
Saint-Hyacinthe lors de l’événement « Exposition Ode à la nature 2020 ».
Composée d'une série de 4 photographies mettant en premier plan une
feuille d’un végétal à la manière d’un herbier et en substrat une texture
naturelle de bois, d’écorce ou de canopée régionale.
De par la combinaison de la transparence et du contraste émerge la
complexité insoupçonnée des folioles et de la nervuration de la flore.
Les motifs alambiqués camouflés dans le limbe foliaire sont rehaussés
par la monochromie partielle.
Il est maintenant à espérer que l’observation de la beauté magique
d’une nervure rendra l’âme humaine protectrice de la biodiversité.
L’œuvre « Diffraction »
Photographies et impressions couleurs faisant partie de l'exposition
"Diffraction" présenté en primeur à la Galerie 1855 Exposition collective
de Saint-Hyacinthe lors de l’événement « Exposition estivale 2020 ».
Composé d'une série de huit photographies de réflexions lumineuses
inextinguibles au travers de vitrines de boutiques du centre-ville de
Saint-Hyacinthe.
De par la transparence des réverbérations, des diffractions et du réel, le
spectateur, presque voyeur, découvre les contours luminescents du
1555 Marché Public ou les incandescences chaudes du plafonnier urbain.
Une recherche purement justifiée par la couleur et la composition picturale,
mais aussi une double réflexion sociétale entourant la problématique d'un
centre-ville en mutation.
Photographies et impressions couleurs faisant partie de l'exposition
"Diffraction" présenté en primeur à la Galerie 1855 Exposition collective
de Saint-Hyacinthe lors de l’événement « Exposition estivale 2020 ».
Composé d'une série de huit photographies de réflexions lumineuses
inextinguibles au travers de vitrines de boutiques du centre-ville de
Saint-Hyacinthe.
De par la transparence des réverbérations, des diffractions et du réel, le
spectateur, presque voyeur, découvre les contours luminescents du
1555 Marché Public ou les incandescences chaudes du plafonnier urbain.
Une recherche purement justifiée par la couleur et la composition picturale,
mais aussi une double réflexion sociétale entourant la problématique d'un
centre-ville en mutation.
Pas de deux
Ma recherche picturale pour ce projet se développe dans le contraste et la dualité de deux caractères en stratification. Dernièrement, mes explorations numériques ont confronté le métal brut rouillé des sculptures de Claude Millette et des mouvements de danse quelques fois contemporaines et parfois classiques. Cette rencontre touchante en émotion et en similitude entre des gestes gracieux et lascif, chevauchant des lignes sinueuses sculptées dans la rigidité légendaire d'un acier industriel résistant à des tonnes de charge.
Au travers de photographies inspirante, j'ajoute en superposition et par juxtaposition d'autres images, des textures, en transparence, un voile diaphane et une vignette. Sans stratégie conforme, je déplace les images dans l'espace, dans le cadrage et dans la profondeur virtuelle.
Ses images n'ont d'autre intérêt que de placer l'observateur dans une controverse mentale subjective entre des éléments incongrus qui ont pourtant une affinité imaginaire, rêveuse ou réelle.
Au travers de photographies inspirante, j'ajoute en superposition et par juxtaposition d'autres images, des textures, en transparence, un voile diaphane et une vignette. Sans stratégie conforme, je déplace les images dans l'espace, dans le cadrage et dans la profondeur virtuelle.
Ses images n'ont d'autre intérêt que de placer l'observateur dans une controverse mentale subjective entre des éléments incongrus qui ont pourtant une affinité imaginaire, rêveuse ou réelle.
Réflexion d'un réverbère